
Il suffit parfois de pas grand chose pour être psychologiquement déstabilisé, ne plus être « aligné. » Comme s’il fallait un alignement de planètes pour retrouver une stabilité. Si tel était le cas, quelles seraient ces « planètes » ? Où seraient-elles ces planètes ? En moi, j’imagine. Comment fait-on pour aligner ses propres planètes ? Suivant l’adage, après la pluie vient le beau temps, on attend ? Ou pourrais-je moi même aligner mes planètes, dans ce cas comment je m’y prends ? Qui pourrait m’aider en me donnant de la méthode ? Le coaching professionnel dans le cadre d’un développement personnel ! C’est ce que je vous propose de voir aujourd’hui.
Je vous propose de voir cette vidéo, elle résume ce que j’appelle « l’alignement de planètes » en développement personnel.
Dans cette vidéo, j’évoque plusieurs « planètes » , la confiance en soi, l’image de soi, l’estime de soi, l’affirmation de soi. Ce sont des notions qu’on utilise souvent, comme par exemple « je manque de confiance en moi. » Et si je vous demandais d’en donner une définition simple … Difficile, non ? Parce que c’est peut être un sentiment diffus qui se mélange avec d’autres, la peur de, je n’ose pas, et que vont en penser les autres, j’ai tout raté donc à quoi bon… etc. Alors essayons de mettre de l’ordre dans tout ça. Pourquoi ? Pour y voir clair et quand on y voit clair, comme par hasard des solutions apparaissent parce qu’on peut en déterminer les causes profondes. Je vous parlais de méthode en introduction, c’est ce que peut vous apporter le coaching professionnel, vous aider à faire votre propre diagnostic pour que vous trouviez VOS solutions adaptées à VOUS, à VOTRE contexte et VOTRE personnalité. Avec juste, un aligneur de planètes, un coach.

Commençons par la confiance en soi, quelle définition pourrions-nous en donner ? Si j’ai confiance en moi, je crois que j’ai les capacités, les ressources, les compétences pour face à la situation que j’envisage. On peut donc résumer la confiance en soi en un adjectif, à savoir, « CAPABLE. » Puisque que la confiance en soi me fait agir, je peux aussi la résumer en un verbe « FAIRE. » Si j’ai confiance en moi, je me sens CAPABLE de FAIRE. Oui, mais comment se fait-il que même si je suis capable de faire, je n’ose pas ? Poursuivons ! La réponse est au-dessous.

Et l’estime de soi, quelle définition ? L’estime de soi est la perception qu’on a de l’image de soi par rapport à son idéal mais aussi par rapport à « la perception du regard des autres. » Ce n’est pas le regard des autres, mais la perception que j’en ai. J’en déduis donc une évaluation de ma valeur. Notez bien que ce n’est pas ce que je vaux, mais ma perception de ce que je vaux au travers de plusieurs filtres, un filtre culturel d’abord si je suis un homme, une femme, grand, petit, blond, brun, etc. et donc fonction du regard des autres. Comme la confiance en soi, l’estime de soi est donc aussi une croyance, mais cette fois une croyance en ma valeur. Naturellement, on peut donc résumer l’estime de soi par un adjectif « VALABLE » et par un verbe « ÊTRE. » Si j’ai une bonne estime de moi-même, je me sens ÊTRE quelqu’un de VALABLE. Dans ces conditions, et seulement dans ces conditions, si j’ai les capacités, en référence à la définition de la confiance en soi, je vais oser faire.
La confiance en soi étant une évaluation de mes capacités, je la détermine à partir de la connaissance de moi qui va me donner les éléments sur ce que je suis capable de faire. Néanmoins, l’estime de soi va valoriser ou dévaloriser (la valeur !) ce que je me sentirais capable de faire, si tout allait bien. Ces 3 notions connaissance de soi, estime de soi et confiance en soi sont donc intimement liées à partir du rapport qu’on entretient avec ses réussites et ce qu’on nomme souvent « ses échecs. » Culturellement, on apprend que ce qui est bien est « normal » et ce qui est mal est à dénoncer. On prête donc plus attention à ce qui est mal. On en arrive même à dévaloriser (la valeur !) ce qui est bien, puisque c’est normal et à amplifier ce qui est mal. Comme la mémoire émotionnelle est une des plus performantes et comme le cerveau est programmé pour l’instinct de survie en priorité, il va retenir à vie ce qui a été mal puisqu’une émotion négative a été associée et surtout pour éviter de se refaire mal à nouveau. Tous ces éléments concourent à baisser naturellement l’estime de soi et donc à fragiliser la confiance en soi.
Les premières planètes à aligner sont donc
- connaissance de soi, pour connaître ce que je suis capable de faire
- estime de soi, en allant rechercher ce que j’ai fait de « bien » dans le passé de manière à le valoriser
- et pour (re)construire la confiance en soi, il conviendra de travailler le rapport que j’entretiens avec la réussite et avec ce que je nomme souvent « l’échec«
Sur ce dernier point, le travail consiste à « célébrer » ses réussites, c’est à dire à prendre le temps de valoriser ce que j’ai fait de bien dans le passé. Cette première action a comme bénéfice d’alimenter la perception d’ÊTRE quelqu’un de VALABLE.


Le second travail consiste à entretenir avec ce que je nomme « l’échec » un rapport de type apprentissage plutôt qu’un rapport émotionnel. L’apprentissage à partir de mes « tentatives infructueuses » plutôt que mes échecs a pour but d’alimenter la connaissance de moi, pour analyser les causes profondes, y remédier et tenter à nouveau. Un échec est définitif, une tentative infructueuse est un cadeau qui me permet de comprendre comment réussir demain.
Ces 3 planètes connaissances de soi, estime de soi et confiance en soi sont internes à soi, elles ne sont pas visibles des autres. Ce n’est qu’après avoir aligné ces 3 planètes qu’on peut travailler l’alignement de la dernière planète, l’affirmation de soi, vis à vis des autres. Autrement dit, je ne peux tenter d’être OK avec les autres, que si je suis OK avec moi-même, d’abord.
Le coaching professionnel a des outils pour aligner les planètes sans attendre une conjonction hypothétique. Si vous avez besoin de réaligner vos planètes, contactez-moi.
