
Pour la protection de nos clients, le code de déontologie de la profession de coach garantit la confidentialité de ce qui est échangé durant les séances. Ce qui n’empêche pas de dévoiler ce que disent les clients, sans citer leur nom. J’ai choisi de le faire en sélectionnant quelques verbatims, parce que pour comprendre l’intérêt du coaching, c’est vous, clients, qui en parlez le mieux ! C’est ce que je vous propose de voir aujourd’hui.

Voici ce qu’a verbalisé une cliente à l’issue de la séance d’identification et de formulation de son objectif de coaching. « J’ai verbalisé ce que j’ai toujours su, mais je n’arrivais pas à mettre la lumière sur les causes. Maintenant, j’ai l’impression que j’avance. » La verbalisation aboutit systématiquement à des révélations. Dans ce cas, c’était la révélation des causes issues de sa construction identitaire. C’est-à-dire, le contexte de son enfance, dont elle n’est pas responsable. En ayant mis le doigt sur les causes, elle se sentait maintenant responsable de ce qu’elle en faisait. C’est comme ça que les solutions coulent de source pour le client.

Au début d’une séance, un client qui relatait les actions qu’il avait mises en œuvre m’a dit « les choses se mettent en place, c’est drôle et surprenant. » Après avoir été acteur du changement, par les actions qu’il avait engagées, surpris et satisfait, il devenait désormais spectateur des résultats naturels qu’il obtenait !
J’en ai écrit un article spécifique.

À la question « à l’issue de votre processus de coaching, qu’en retenez-vous ? » voilà ce que m’a répondu une cliente « Quand je serai bloquée, je me poserai les types de questions de mon coach.«
Ah ! La puissance du questionnement socratique !

Plusieurs mois après la fin de son processus de coaching, une cliente m’a redonné de ses nouvelles en ces termes « depuis… tout ce que je touche, c’est l’or. Que ce soit personnellement et professionnellement ! » Elle avait changé de job pour une activité en cohérence avec ses valeurs, l’objectif de son processus de coaching. Depuis, elle avait déménagé en sélectionnant un environnement qu’elle avait choisi parce qu’il lui correspondait mieux. Elle avait rencontré un nouveau compagnon. Son processus avait été le déclic qui lui manquait pour sortir de sa zone de confort dans laquelle elle végétait.

Alors que je questionnais un client sur les résultats qu’il avait obtenus depuis le début de son processus, spontanément, il m’a dit « c’est vrai finalement. J’ai du mal à voir le positif dans ce que je fais ! Je ne valorise jamais ce que j’ai fait. Il faut que je change ça ! » Le coaching, c’est aussi la prise de conscience de sa programmation, pour se déprogrammer et obtenir d’autres résultats. Einstein le disait « La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent. » Le coaching est efficace pour expérimenter et pour se reprogrammer. En regardant le positif, c’est comme ça qu’on change son état d’esprit. C’est comme ça qu’on s’automotive à persévérer. C’est comme ça qu’on change les résultats de ses actions. C’est comme ça qu’on passe du camp des loosers au camp des winners. C’est de la PNL !

Après la séance durant laquelle une cliente a formulé et déterminé son objectif, elle a souligné « L’exercice a agi comme un révélateur. Ma verbalisation est cohérente, mon objectif fait sens, tout est maintenant en place ! Ça va le faire ! » Les exercices qu’on réalise en processus de coaching sont dirigés vers la mise en action parce qu’ils agissent sur le fonctionnement du cerveau et ses neurotransmetteurs, entre autres, le circuit de la récompense du cerveau et la dopamine, un dopant naturel, comme son nom semble l’indiquer. Il suffit d’allumer la mèche. En processus, je fournis la boite d’allumettes.

En pleine séance, alors que je la faisais verbaliser pour mettre en lumière les paradoxes qu’elle évoquait sans s’en rendre compte, la cliente s’est arrêtée en plein milieu de sa phrase puis, après un temps de réflexion « … mais c’est complètement c… ce que je dis ! » Après des jours, des semaines, des mois de ruminations, on boucle sur des croyances limitantes. En verbalisant, on met tout sur la table. Ses paradoxes et ses contradictions deviennent l’objet de sa réflexion. Alors qu’en réfléchissant, on ne peut pas les mettre en évidence. Pour ça, vous avez besoin d’une tierce personne qui vous questionne qui vous permet de prendre du recul pour justement mettre en lumière vos contradictions. Le déclic n’est jamais très loin pour se remettre en action. J’avoue être très à l’écoute des contradictions dans la verbalisation de mes clients. C’est souvent la clé qui ouvre plein de portes.
Alors ! Cette mise en action, vous la commencez quand ? Contactez-moi.
